Licenciée en vertu du principe de laïcité. L'académie de Toulouse a exclu vendredi une enseigante stagiaire qui refusait de retirer son voile islamique pour faire la classe à des élèves de primaire. Cette exclusion est définitive et revient à un licenciement, confirme le rectorat. Le principe de laïcité est affirmé par l'article premier de la Constitution. Le «principe de neutralité s'impose aux agents publics dans l'exercice de leurs fonctions et leur interdit d'exprimer, de matérialiser, d'extérioriser leurs croyances religieuses», rappelle le recteur.
La jeune femme, dont l'identité n'a pas été révélée, n'a manifesté aucune intention de contester cette décision. Si elle change d'avis, elle dispose de deux mois pour formuler un recours devant le tribunal administratif. L'intéressée a accepté le verdict de l'académie de Toulouse «avec beaucoup de dignité et de responsabilité», témoigne le directeur de la communication du rectorat, Michel Montredon. «Elle n'a montré aucune volonté de monter cette affaire en épingle, elle savait ce que sa décision impliquait dans sa vie professionnelle et publique».
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La jeune femme, dont l'identité n'a pas été révélée, n'a manifesté aucune intention de contester cette décision. Si elle change d'avis, elle dispose de deux mois pour formuler un recours devant le tribunal administratif. L'intéressée a accepté le verdict de l'académie de Toulouse «avec beaucoup de dignité et de responsabilité», témoigne le directeur de la communication du rectorat, Michel Montredon. «Elle n'a montré aucune volonté de monter cette affaire en épingle, elle savait ce que sa décision impliquait dans sa vie professionnelle et publique».
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