A Sana'a, une manifestation en cache une autre. Dimanche et mardi, opposants et défenseurs du mariage précoce des filles ont, tour à tour, défilé devant le parlement yéménite.
Au cœur de la controverse : une loi, votée en février 2009, sous la pression des associations féministes, qui fixe l'âge minimum du mariage à 17 ans pour les femmes (contre 15 ans à l'heure actuelle). Avec, à l'appui, une pénalité d'environ 350 euros aux familles qui dérogent à la règle. D'abord abrogée, cette loi est actuellement soumise à la révision du comité constitutionnel, sur demande des ultras conservateurs, qui l'accusent d'être à l'encontre des « préceptes religieux ». [...]
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